Répertoire des membres professionnels

Catherine Aboumrad a obtenu son baccalauréat en beaux-arts, majeure en photographie, avec distinction de l’Université Concordia, en plus d’avoir étudié la photographie au Cégep du Vieux-Montréal. Elle a participé à plusieurs expositions et festivals tels Guatephoto, le festival de photographie contemporaine du Guatemala et À louer, organisée par UMA-La Maison de l’image et de la photographie. Son travail fait parti de collections privées dont l’Art-in-Buildings Collection de New York.

Jorge Aguilar est né au Mexique en 1973. De 1993 à 1996, il étudie la technique de la sculpture d’argile avec l’un des plus prestigieux sculpteurs de ce pays, Javier Marín. Il développe par la suite ses talents en poursuivant des cours de dessin à la Antigua Academiade San Carlos au Mexique. Depuis 1997, il travaille seul à la sculpture et la peinture. Il vit à Montréal depuis 2004.
Est inscrit dans le Répertoire de la diversité artistique de Montréal, est inscrit comme artiste professionnel au RAAV (Reagropuement des artistes en arts visuels) et membre honoraire à vie du Musée des beaux-arts de Mont-Saint-Hilaire. Il a gagné le 2e et 3e prix (accompagné d’une bourse) au Festival des arts de Saint-Basile-Le-Grand en 2011 et 2008 respectivement.
Il a donné des conférences dans le cadre des journées de la culture au Centre Culturel Henri-Lemieux, à Lasalle en 2009 et donné des cours de sculpture dans le cadre des activités parascolaires à l’école Bedford de la Commission scolaire de Montréal en 2008-2009.
Il participe à l’encan du Musée des beaux-arts de Mont-Saint-Hilaire pour souligner le 15e anniversaire de l’institution en 2010. Il a également pris part à l’encan de la Fondation Jeunesses Musicales du Canada en 2008. Cette même année, il a exposé lors du festival Rêves d’automne, Festival paysages en peinture 2008, à Baie-Saint-Paul dans le cadre des activités en tant que Capitale culturelle du Canada 2007. Jorge Aguilar a aussi été de laFête des arts de 2007 à Saint-Basile-Le-Grand, Québec, et du Festival du monde arabe la même année. En 2007 et 2005, il a été représenté par la galerie Option Art aux foires internationales Sculpture Objects and Functional Art (de Chicago, Palm Beach et New York en 2007 et 2005.
Jorge Aguilar il a réalisé plus de 40 expositions individuelles et collectives au Mexique et au Canada, telles que Morceaux de vie, Galerie les 3 C, Centre culturel Henri-Lemieux, à Montréal, La nature en mouvement, (tandem avec Jordi Bonet), Musée des beaux-arts de Mont-Saint-Hilaire, Québec, Canada, C’est ça la vie, Galerie Art’Américas, Montréal, Art sans frontières,, Centre culturel et sportif Regina Assumpta, à Montréal, Obra reciente Jorge Aguilar, Galerie JLS, Valle de Bravo, Edomex, Mexique, Jorge Aguilar, Redondeces soñadas, Université de Aguascalientes, Aguascalientes, Mexique, Votre âme est un paysage choisi au Musée des beaux-arts de Mont-Saint-Hilaire, Québec, Cruzando miradas, Galerie du Conseil de la sculpture du Québec, Montréal, Con el Barro... Platicando, Museo Casa León Trotsky, Mexico, D.F., Mexique, Petits formats des artistes de la galerie, Galerie Valentin, à Montréal, Colectiva 2010, Galerie JLS, Valle de Bravo, Équipe Mexi-Que-Bec, Galerie Espacio México du Consulat du Mexique à Montréal.
Ses œuvres font partie de collections publiques et privées au Mexique, Canada, Chili, États Unis, France, Singapour, Hong Kong et Suisse.

Originaire de Montréal, Nathalie Ampleman vit actuellement dans les Cantons-de-l’Est. Artiste photographe professionnelle depuis 25 ans, elle a réalisé des études de 2e cycle en pratiques artistiques actuelles à l’Université de Sherbrooke après avoir obtenu une bourse du Conseil des arts et de la culture en 2012 pour son projet Empreinte résiduelle. Ses œuvres ont été exposées, entre autres, au Centre international d’art contemporain de Montréal et sont présentées en France et dans divers musées régionaux ou galeries d’art depuis 2010.
"Tel l’alchimiste qui recherche l’aventure et le hasard, j’expérimente différentes façons de fabriquer les images en combinant les imprévus et les accidents des procédés photographiques historiques à la photographie numérique. Ces différents procédés sont les déclencheurs de ma démarche. Travaillant sur plusieurs stades de la matière photographique, je peux la moduler à ma guise. Dans un monde de dématérialisation où tout semble nous échapper, ils sont les refondateurs d’un rapport au réel."
J'offre des ateliers en procédés historiques photographiques. Les ateliers sont donnés à l'Atelier-Galerie A. Piroir à Montréal. Pour l'inscription, voir les ateliers disponibles sur le site de la Galerie : http://www.piroir.com/fr/demonstration/demonstration.

Fiona utilise une vaste gamme de technologies médiatiques et hybrides afin d'explorer les tensions entre le concept et la matière et ainsi sélectionner les processus et les rythmes qui amplifient les idées qui définissent chacun de ses projets. Cette méthode de travail s'accompagne d'un intérêt pour la façon dont le passé détermine le présent. À cet égard, le préfixe 're' est en utilisation constante : retour, revenant, remédier et réinventer, tous des mots qui se retrouvent dans les écrits qui décrivent ses divers projets. Cette approche anachronique elle a menée vers des recherches sur la relation étrange de la photographie avec le passé et à explorer les différents matériaux, images et technologies dans la quête de nouvelles significations.
Fiona a présenté des expositions dans des centres d’artistes, des galeries et des musées au Canada et à l’étranger, incluant l’Institut AC (New York), le Centre canadien d’architecture (Montréal), l’Université Goldsmith (Londres), la LowSalt Gallery (Glasgow), Gallery44 (Toronto), VU Photo (Québec) et The Art Gallery of Alberta (Edmonton). Ses projets ont été publiés dans Public: Art/Culture/Ideas, BlackFlash Magazine, Front: Contemporary Art & Ideas, et Imagining Science, gagnant du New York Book Show Award. Ses œuvres font partie des collections du Musée des civilisations, de la Penumbra Foundation (New York) et de plusieurs collections privés. Au cours de résidences d'artiste à Rad’art (Italie, 2016), DAÏMÕN (Gatineau, 2015), Caravansérail (Rimouski, 2015), Eastern Bloc (Montréal, 2013) et Penumbra Foundation (New York, 2012), elle revisite des techniques photographiques anciennes, questionnant les façons dont ces dernières peuvent continuer d’éclairer notre contexte contemporain. Fiona poursuit également une collaboration continue avec la Société des Archives Affectives, incluant des projets tels que L'étreinte des temps, un projet d'art public à grande échelle sur l'un des trois sommets du Mont-Royal à Montréal.

Née à Montréal, Lyette Archambault s’est toujours intéressée à la peinture. Elle perfectionne son art depuis 2004 et participe à plus d’une cinquantaine d’expositions individuelles et collectives, au Québec, au Canada et en Europe, ou elle obtient de nombreux prix.
Ses œuvres font partie de collections corporatives et privées au Canada, en France, aux États – Unis, en Russie et en Ukraine.
Sa peinture se manifeste principalement à travers des personnages réalisés au pastel sec ou à l’acrylique. Sa formation en art dramatique influence sûrement cette représentation d’êtres imaginaires, émouvants, graves ou naïfs.
Lyette Archambault est membre professionnelle du Regroupement des artistes en arts visuels du Québec (RAAV), de la Société de Pastel de l’Est du Canada (PSEC) et de l’Académie Internationale des Beaux-Arts du Québec(AIBAQ)

Pascale Archambault vit et travaille à L’Avenir au Centre du Québec. Depuis 1978 elle se consacre à la sculpture, principalement de taille directe dans la pierre qu'elle intègre avec ingéniosité à d'autres matériaux. Son œuvre figurative aborde ses sujets avec mordant et humour noir. Nonobtant son originalité, son travail de sculpture axé sur le corps humain, est fortement influencé par la tradition statuaire. De fait, sa figuration associant fragments de corps et objets utilitaires recyclés, lui permet de créer des images suggestives – souvent narratives – de l’être et de son évolution. Ses œuvres publiques sont installées à Québec, Lévis, Montréal et dans plusieurs pays du monde dont la France, l'Agentine, Uruguay, Corée du Sud, Guatemala et au Chili.

Après avoir oeuvré plus de trente ans dans le domaine du graphisme en publicité et effectué quelques incursions en peinture au cours de ces années, je consacre maintenant mes énergies à une démarche picturale où je peux m'exprimer en toute liberté, sans restriction ni contrainte.

Né en 1950 à Montréal, Arseno vit et travaille au Québec, à Sherbrooke dans les Cantons de l’Est. Pendant plus de cinq ans, il a reçu une formation artistique de niveau universitaire à l’Académie Art & Beaux-Arts, sur la rive sud de Montréal. Il a étudié la Composition picturale dans l’espace-tableau, la Critique d’œuvres de toutes tendances et l’Histoire de l’Art, avec l’historien et critique d’art international, M. Sam Aberg.
Arseno est membre professionnel du R.A.A.V. (Regroupement des Artistes en Arts Visuels du Québec) publié dans le Répertoire Biennal des Artistes Canadiens en Galeries de Magazin’Art et fait partie, depuis 2001, des artistes permanents de la galerie Michel-Ange à Montréal. Il a également exposé à New-York, Toronto et Vancouver. Ces œuvres font partie de collections publiques et privées au Canada, aux États-Unis, en Europe et en Australie. Il a enseigné la composition à l’U.T.A. de l’Université de Sherbrooke. Il est copropriétaire de l’école « Atelier Beauvoir »de Sherbrookeoù il donne des cours sur la Composition picturale dans l’espace-tableau; (crédités au Certificat en Arts Visuels de l’Université de Sherbrooke), ainsi que des ateliers de créativité et de coaching en peinture. Il a été président d'honneur en 2005 pour Estiv'Art (Magog, Qc.), juge pour pour l'exposition concours 2011 « Aux Trésors de la Grange » et pour la sélection 2011 et 2015 pour l'exposition collective VisaArt (Estrie, Qc.) et

Démarche artistique
J’ai repris goût à la création et à l’expression artistique à l’Atelier l’Élan, dans un espace de l’édifice Belgo à Montréal où Suzanne Lapierre animait des ateliers de peinture acrylique avec l’approche du Frère Jérôme. C’était en 1994. L’approche de la gestuelle du Frère Jérôme m’a amenée à poursuivre une pratique artistique assidue depuis. Cette pratique autodidacte a été ponctuée de formations formelles et d’ateliers auprès d’artistes reconnu.e.s et a pris diverses formes axées sur l’exploration des techniques, des médiums, des approches, en dessin et peinture et depuis quelques années de manière soutenue en sculpture/modelage avec l’argile.
Pour mes dessins sur papier comme sur toile, j’utilise tous types de médiums bien que j’affectionne particulièrement l’acrylique car elle s’adapte bien à mon rythme rapide de travail et le fusain en raison du rendu émotionnel qu’il permet à lui seul. Mes représentations picturales ont varié de l’abstrait au figuratif et sont souvent un mélange des deux.
J’utilise souvent des applications logiciels de dessin et de peinture pour faire mes premiers croquis avant de produire sur un support physique. Cependant je me sers des applications logicielles de dessin principalement pour accompagner mon propos dans les médias sociaux et mes blogues. Je publie en fonction de ce qui me touche dans l’actualité sociale et politique. Je me sers de l’image pour afficher mes prises de positions.
Je me suis mise à la sculpture avec l’argile, il y a sept ans. J’aime toutefois associer la peinture à la sculpture dans les décorations de certaines pièces, non pas pour mettre en valeur des dimensions mais plutôt pour brouiller les pistes de décodage. L’humour n’étant jamais très loin. Le façonnage avec l’argile a été une découverte majeure pour moi. Il m’a permis d’explorer les formes et la face souvent cachée des choses.
Les thèmes qui m’occupent concernent la sensibilité, la présence, les émotions de l’humain, de l’animal et de la nature. Certain.e.s artistes ont été et sont encore des sources constantes bien qu’éclectiques d’inspiration, par exemple: l’univers trouble de Diane Arbus, le monde onirique et érotique de Leonor Fini, le geste puissant de Marcelle Ferron, l’obsession de Giacometti, la grâce touchante de Margie Gillis, le message féministe et engagé de Kiki Smith et Niki de Saint Phal, la révolte sourde de France Théoret, l’humour vital et la conscience de Louky Bersianik.
Mes façonnages à l’argile sont cuits et patinés ou émaillés et de dimensions variées allant de 3 pouces à 36 pouces; en ronde bosse, en haut et bas reliefs. Tous les ans, je consacre une partie de mon temps de création et de production à la création d’une statue en hommage à une créatrice québécoise qui a contribué à l’évolution des femmes dans notre société et ailleurs. Le plus souvent dans le domaines des arts et de la littérature. La représentation statuesque des femmes fait grandement défaut dans notre paysage au Québec et c’est là ma façon de contribuer à assurer leur mémoire. En exemple : Suzanne Guitté, Gabrielle Roy, Marie Uguay, Rina Lanier, Louky Bersianik, Pol Pelletier et exceptionnellement les Citoyennes (Idola St Jean, Thérèse Casgrain et Marie Gérin-Lajoie) Toutes ces sculptures sont en installation permanente dans des espaces publiques ( céramique et/ou coulées en bronze). C’est là leur vocation.
Je dessine et façonne beaucoup de têtes et des parties de corps. Je recherche les traits qui témoignent de la vérité des personnages sans chercher à reproduire fidèlement la ressemblance. Une forme d’inspiration relativement nouvelle depuis trois ans : les œuvres littéraires. Historiquement c’est plutôt l’inverse qui se passe : des écrivains s’inspirent de l’objet sculpté. L’inverse se voit en illustration, rarement en sculpture. Une belle découverte que j’aimerais explorer davantage car c’est une façon de m’approprier pleinement l’univers romanesque ou poétique de l’auteur.e. Cela donne naissance aussi à un dialogue non intellectuel à distance. Dialogue par objets interposés en quelque sorte, qui ouvre la voie à une nouvelle manière de comprendre ou appréhender l’autre.

Raymond Aubin est un artiste en arts visuels. Ses œuvres ont été présentées régulièrement dans le cadre d’expositions individuelles et collectives, notamment, à la Maison de la culture de Longueuil, à la Nuit blanche d’Ottawa-Gatineau, à la Galerie Montcalm, à la Galerie d’art de l’Hôtel de Ville d’Ottawa, au Musée d’art contemporain des Laurentides, à Art souterrain et au Centre d’exposition Art-image. Il a été boursier du Conseil des arts et des lettres du Québec. Actuellement membre du conseil d’administration de Culture Outaouais, il a été administrateur de plusieurs autres organismes en arts. Il détient un baccalauréat en arts et en désign de l’Université du Québec en Outaouais.

Diplômé de la Faculté des beaux arts et d’architecture de l’université libanaise à Beyrouth, ma pratique artistique se déploie à partir d’une réflexion sur les thématiques du déplacement et de la disparition. Au moyen d’œuvres sculpturales et installatives, j’investis les omissions des récits dominants véhiculés par des réalités sociétales, politiques et idéologiques du monde contemporain. De par ma propre identité hybride et mon vécu personnel, mon travail explore la mutation non négociable du corps et de l’esprit par les empreintes du temps et par l’entremise des interactions sociales. Ce cycle continuel de (dé)constructions et de (dés)organisations des repères devient malgré moi source de création alimentant une pensée en perpétuelle transformation et en constante recomposition à partir d’une mémoire visuelle, auditive et corporelle. Dans cette quête du remodelage des repères au niveau de l’entourage immédiat, j’explore simultanément les questions de la perte et de la recherche de nouveaux repères culturels et géographiques.
Ma démarche et mes préoccupations artistiques portent principalement sur les matériaux recyclés. Mon matériau de prédilection, le papier journal, est un choix en lien direct avec les notions de transformations et d’hybridités identitaires. Le papier journal est lui-même en perpétuelle transformation puisque techniquement un changement au niveau de sa couleur s’opère à partir du moment où la lignine (un biopolymère du bois présent dans le papier journal) réagit face à l’air libre par oxydation. Ces journaux aujourd’hui abandonnés sur les bancs publics et dans les stations de métro de la région métropolitaine de Montréal, portent aussi en eux les traces d’un passé, racontent le vécu des gens et documentent les liens qu’on essaie de tisser… c’est en quelque sorte un journal intime d’une société, d’une ville. La superposition du papier journal suivi du travail de modelage et de compression est ainsi à l’image des couches identitaires juxtaposées qui nous constituent. L’identité plurielle des êtres hybrides est en parfaite adéquation avec le volume et les formes sculpturales que je propose. En recyclant le papier, je parviens à «faire un meilleur avenir avec les éléments élargis du passé» comme disait Goethe.

Carole Baillargeon vit et travaille à Deschambault-Grondines. Elle poursuit son travail de création depuis une trentaine d’années, ce qui l’a amenée à réaliser de magnifiques projets au Québec, en Amérique et en Europe.
On peut sans aucun doute dire que sa pratique artistique est, ce qu’on pourrait qualifier d’hybride, comme elle touche les arts visuels, la scénographie et parfois même des techniques artisanales. Elle a reçu plusieurs prix dont le prix Hommage en métiers d'art lors des prix Excellence Arts et culture en 2016; en 2000, pour son rayonnement international, lors des prix de la culture des Régions de Québec et Chaudière-Appalaches et en 1993, le premier prix Ville de Québec de la Biennale Découverte. Elle a aussi reçu l'appui financier du Conseil des Arts du Canada et du Conseil des Arts et Lettres du Québec.
En 2015 et 2016, la circulation de l'exposition Paysages-Vêtements, qu’elle a réalisée sur une période de quinze années, a permis de présenter ce vaste ensemble à Montréal, à Trois-Rivières, pour terminer au Musée d'art contemporain de Baie-Saint-Paul qui lui a consacré tout le rez-de-chaussée pour présenter la version intégrale, de février à avril 2016.
Enfin, elle a complété la scolarité de doctorat en études et pratique des arts à l'Université du Québec à Montréal, une maîtrise en arts visuels, spécialité arts textiles et un baccalauréat en scénographie à l'Université Concordia.

Je vis et travaille à Montréal et à Maricourt dans les Cantons-de-l'Est.
Ma pratique artistique est interdisciplinaire et se manifeste principalement sous forme de sculptures, d’installations in situ, d’art textile, de techniques mixtes et de land art.
Mon travail est caractérisé par l’utilisation de matériaux issus de la nature et d’autres matériaux organiques et inusités. J’illustre des idées telles les blessures, les traces, la mémoire des gestes, l’adaptation et la résilience. Mes interventions sur la matière sont minimales et ma démarche est axée sur le processus et l’étymologie des mots.
Je suis aussi archiviste pour des artistes de carrière et je fais du bénévolat à l'Herbier Marie-Victorin au montage des spécimens végétaux.
Services offerts : Archives et dossiers d'artistes, Préparation de portfolio (gestion de contenu et infographie), Numérisation, Inventaires pour succession

Artiste sculpteur de région nordique, partagé entre l'éphémère et l'éternel, je vis à chaque jour le défi de choisir. J'ai réalisé des oeuvres publiques au sommet du Rigi, au fort Gibraltar, sur le mur de la Polyno, devant le CLSC des Aurores boréales, dans le parc botanique à Fleur d'eau, sur le lac Abitibi, sur les plaines d'Abraham, etc. Ma démarche artistique étant intimement liée à mon environnement, un lieu paradoxal de confrontations et de symbioses Homme/Nature, dans un relation amour/haine, plaisir/danger, travail/survie. Du même coup, ces gestes antagonistes se sont installés dans mon esprit comme des outils de création et participent au choc quotidien de l'art dans ma vie. La survie reste encore la meilleure issue, non seulement la mienne mais aussi celle des idées, des objets, des formes, des matières déjà créées que je réchauffe et que je rassemble afin de donner un nouveau sens à leurs existences et à la mienne.
Autres services: animation en art éphémère dans tous les milieux; scolaire, municipale, social, etc (neige, sable, roche, branches, etc)

Lorraine Beaulieu vit et travaille à Trois-Rivières (Québec). Elle travaille plusieurs médiums et est inspirée par les questions d'identité culturelle et les relations de l'homme avec son environnement. Depuis 2001, elle a developé une pratique sculpturale où elle utilise principalement des objets tirés du recyclage tels que des bouteilles d'eau vides, parapluies et journaux et les amène dans un nouveau cycle de vie. En 2007, son engagement artistique l'amène en Antarctique. Elle travaille aussi le 2 D (images numériques and dessins) et récemment elle intervient avec des performances dans l'espace publiques. Elle a exposé dans plusieurs pays d'amériques du sud et d'Europe. En 2014, en Grèce, elle a présenté Sisyphus, une sculpture avec laquelle elle a performé. Elle a obtenu plusieurs bourses pour des réalisations participatives et des projets de commissariat. Elle est coordonnatrice de la Gallerie d'art R3, Université du Québec à Trois-Rivières, Canada.(http://www.lorrainebeaulieu.com).
Cours de peinture à huile pour débutants et plus expérimentés, adultes et 14ans+. En privé ou en groupe. À la leçon ou en session de 10 semaines. Sujets libres favorisant un coaching personnalisé. Prix très compétitifs.

André Bécot a étudié à l’École des beaux-arts de Montréal et à l’Université de Québec à Montréal. Depuis 1970, il participe à de nombreuses expositions individuelles et collectives et il effectue de nombreux stages au Québec, aux Etats-Unis, en France et en Italie. Dans la création de ses œuvres, il utilise à l’occasion les nouvelles technologies. De plus, depuis plusieurs années, il organise de nombreux événements dans le domaine des arts visuels, notamment pour le Club des collectionneurs en arts visuels de Québec. Son travail actuel est concentré sur la représentation de symboles et d’icônes politiques, sociales et économiques. Né à Arthabaska, André Bécot vit et travaille à Québec depuis 1972. Après des études à l’école des Beaux Arts de Montréal(1967) et à l’Université du Québec à Montréal(1972), il obtient un poste comme professeur en arts plastiques au Cégep de Sainte-Foy. Il est également professeur chargé de cours de 1976 à 1977 à UQATR et, à UQAC, en Arts du feu de 1980 à 1983. Andre Becot has a BFA from l’Université du Québec in Montréal. He was an administrator for the Conseil de la sculpture du Québec and for the RAAV for several years. In 1989, his project << Harmonique >> was awarded the silver medal for sculpture at the << Jeux de la francophonie >> in Morocco.
Appel de dossiers d’artistes en arts visuels. Le Studio Bécot travaille d’abord et avant tout à diffuser et promouvoir l’art auprès des citoyens de Québec et de la région. Pour ce faire, il accueille des artistes de toutes les disciplines, de manière à confirmer son ouverture à toutes les tendances actuelles. Il ouvre ses portes aux artistes de la communauté immédiate, ainsi qu’à ceux de l’extérieur. Adresse du studio Bécot: 344 rue Sainte-Hélène Québec, G1K 3L7. IMPORTANT !!! LE STUDIO BÉCOT PROPOSE TOUJOURS UNE EXPOSITION SOLO AUX ARTISTES.

Alain Bédard est né à Québec, le 4 octobre 1958.
Il est membre professionnel du RAAV (Le regroupement des artistes en arts visuels) du Québec.
En 1976, il s’inscrit au Collège de Sainte-Foy à Québec où il poursuivra durant 3 ans, des études en techniques graphiques.
À l’automne 1979, il ira étudier à New York pour perfectionner ses techniques d’illustrations.
De 1980 à 1984, il débute ses études en communication graphique à l’université Laval de Québec. Il aura le privilège d’avoir comme professeur d’illustration et de graphisme, Monsieur Claude A. Simard. À la fin de ces trois années universitaires, il obtient son baccalauréat en graphisme.
En 1984, il travaille pendant un an pour plusieurs grandes entreprises de publicité à Québec comme graphiste, designer et illustrateur.
Il fonde son propre bureau de graphisme en 1985 et s’associe à plusieurs campagnes publicitaires au Québec jusqu’en 1992.
Depuis 1992, il se consacre essentiellement à la peinture et à la promotion de l’art. Il est propriétaire-fondateur de l’entreprise « Les cartes pôle nord » qui se spécialise dans la création, la diffusion et la vente de cartes de souhaits réalisées par des artistes canadiens.
En 2012 et pendant plus d’un an, il aura la chance d’avoir comme mentor son ami Claude A. Simard, un des plus importants peintres canadiens depuis les 35 dernières années.
Animé depuis toujours par le besoin d’exprimer en couleur ses émotions et ses découvertes, l'art figuratif deviendra pour lui un mode de vie et de communication.
Aujourd’hui présent dans plusieurs grandes galeries d’art au Canada, Alain Bédard se démarque par ses peintures colorées, lumineuses et vivantes.
Ses œuvres font partie de plusieurs grandes collections privées canadiennes, américaines et européennes.
Artiste professionnel, membre du RAAV

Sculpteure multidisciplinaire.
Varie au gré des expériences, les médiums utilisés. À son actif; bronze, aluminium, installation.
Formation baccalauréat en Visual arts de l'université Concordia, formations spécifiques en sculpture variées .
Participation à plusieurs événements d'arts en peinture et sculpture notamment au Symposium Marcheurs d'étoiles de Lac Mégantic.
Travaille à son atelier personnel à Terrebonne ainsi qu'à l'atelier 213 à Laval.
Page facebook: BÉÈRE Sculpture
Formation en créativité 3-D
Formation en technique de moulage /coulage

Ronald Bélanger
Biographie ;
Natif des Hautes Laurentides au Québec, Ronald Bélanger a choisi en 1971, de vivre et d'entreprendre sa carrière en arts visuels en Ontario. Il a d'abord privilégié les paysages à l’huile comme moyen d'expression mais dès 1981, il réalise un rêve, étudié à Ontario College of Art à Toronto .Il explore toute la gamme des médiums, fusain, sanguine,aquarelle, huile, acrylique, eau forte, lithographie, sérigraphie, gravure sur bois, aussi la sculpture et le multimédia. Depuis 1984, il a réalisé plusieurs projets et expositions au Canada, USA et en Europe. Ses œuvres ont été présentés dans plusieurs expositions individuelles et collectives au Québec, en Ontario, USA, au Mexique, à des biennales et expositions par jury à travers l'Europe, l'Amérique du Nord et du Sud. On retrouve ses œuvres dans plusieurs collections publiques et privées au Canada, en Europe, en Afrique.
Préoccupé par le passage du temps, l'artiste explore les thèmes des saisons, les phénomènes de renaissance, croissance et de métamorphose. Son expérience comme peintre a influencé la manière dont il travaille dans les autres mediums. Cette expérience a en effet développé le besoin de pénétrer les surfaces visibles, mordant et laissant avec ses pinceaux des empâtements sur la toile pour dévoiler "l'infini" qui se cache derrière le visible.

« Je crée des intrigues visuelles qui touchent le subconscient, le cœur, l’âme et l’essence peu importe que le spectateur soit jeune ou plus mature. Je crée ce qui n’existait pas sauf peut-être dans un autre monde ou dans une partie inexplorée de notre univers ».

Native de Montréal, Jocelyne Bellemare cumule plus de 20 ans d’expérience à travers son art. Bachelière en Histoire de l’art, à l’UQAM et artiste-maquilleuse du 7e art, elle n’a jamais cessé d’oeuvrer dans le milieu artistique.
Elle bénéficie de cours particuliers en arts visuels, pendant plus de 5 ans ( Beaux-Arts Mission Renaissance, Montréal et Centre Saidye Bronfman, Montréal). Elle a participé à diverses expositions collectives.
2015, « Two for the road », Splash design, Montréal, collectif; 2002, Galerie Artus, Montréal, collectif; 1995, Galerie RayMonde, Laval, collectif; 1995. Studio V.Donohue, Montréal, collectif; 1994, Centre culturel Brancusi, Montréal, collectif; 1994, Salon designers Spectra, ville St-Laurent, collectif. www.jocelyne-bellemare.com

PIERRE BELLEMARE / DÉMARCHE
L'inspiration première de Pierre Bellemare se caractérise par l'énergie, le rythme et l'action, reliés à différentes mosaïques culturelles et musicales. Par la couleur, la lumière, la texture et des notions de calligraphie, la matérialisation musicale se déploie sur toiles.
Pour l'artiste, la couleur a une vibration qui s'apparente à la musique. Cette vibration nous convie à voir un monde qui s'exprime par l'énergie de l'abstraction plutôt que des images ou des mots. Cette liberté du geste, dans une pleine conscience du moment présent, repose sur un fondement issu d'un amalgame de connaissances et de spontanéité artistique.
Le design, l'équilibre et la structure sont pour le créateur, essentiels pour que l'oeuvre s'exprime vivement avec puissance dans son unicité.
« Au-delà du plaisir de peindre, toute la beauté de l'art abstrait réside pour moi dans le fait qu'il est sans frontière. Chacun, peu importe sa culture ou son origine, peut s'y retrouver, ressentir des émotions qui lui sont exclusives ». Pierre Bellemare
À PROPOS
Pierre Bellemare est détenteur d'une formation en art et d'un baccalauréat en communication graphique.
À titre de concepteur infographiste, il a fondé l'agence Bellemare design graphique. Il réalisa de nombreux mandats à caractère national et international, dont certains d'entre eux furent publiés dans plus de 65 pays.
À titre d'artiste peintre, il expose dans différentes galeries au Canada et aux États-Unis. Il participe à des expositions collectives tant au Canada qu'en Europe.
Depuis qu'il se consacre à son art en totalité, ce sont les voyages et la musique qui sont les grandes sources d'inspiration pour Pierre Bellemare. Ainsi, les différentes cultures des pays visités tant en Europe, en Asie qu'au Moyen-Orient, lui inspirent des couleurs vibrantes qu'il prend plaisir à utiliser pour créer ses oeuvres.
Ses tableaux se retrouvent dans des collections privées et corporatives en Amérique du Nord, en Europe, en Asie et en Océanie.

Je suis un artiste photographe qui n’attend pas l’inspiration pour bouger mais qui la provoque. Je me balade dans des lieux qui semblent hostiles à la création et cherche un sujet qui, au premier coup d’œil, me semble intéressant et tente de lui donner un autre sens, de le magnifier. Ma pratique, peu importe le sujet, s’attarde à la texture, à la couleur, ainsi qu’à la forme de l’objet, cherchant à lui donner un autre sens, voire une nouvelle identité qui lui sera propre.
Je photographie les objets sous plusieurs angles, ouvertures et à différents moments de la journée. Par la suite, j’entreprends une série d’expérimentations. Assez souvent, j’extrais, de son ensemble, une partie d’un objet et lui fais perdre son sens véritable. Par la suite, à l’aide des logiciels Photoshop et Lightroom, ainsi qu’en effectuant plusieurs essais, j’arrive à trouver l’angle qui lui convient. La collection Exploration d’un dépôt ferroviaireest une excellente représentation de cette démarche; des pièces de train toutes rouillées, en attente dans un dépotoir, deviennent soudainement une œuvre d’art.
La juxtaposition est également une technique utilisée, me permettant de faire découvrir aux spectateurs un tout autre sens à une situation donnée. Ainsi, trois ou quatre photos juxtaposées qui, lues de gauche à droite ou de haut en bas, suggèrent une action dans le temps et créent une nouvelle ambiance, différente de celle présente lors de la prise photo initiale. La collection Mais où est l’astronaute? décrit très bien ce cheminement. Les photos de plongée sous-marine changent de sens, une fois assemblées, pour suggérer à présent un voyage dans l’espace.
Assurément, le but de ma démarche est de donné un sens plastique et esthétique aux choses, de rendre beau ce qui semble anodin aux yeux de tous.

Roland Benoit est originaire de New Liskeard, Ontario. Il a étudié à l’Université de Montréal et après son baccalauréat en arts et lettres, il s’est établi au Québec. Il a œuvré dans le domaine des communications, notamment à titre de rédacteur et illustrateur. Au cours des années, il a poursuivi sa formation en arts visuels (dessin, peinture et techniques mixtes).
Sa démarche artistique repose sur deux thèmes, soit : l’identité et l’intériorité. Il s’intéresse particulièrement à la relation qui existe entre les deux. La symbolique fait partie intégrante de son œuvre.
Dans sa production récente, il explore et représente les thèmes qu’il privilégie par l’abstraction lyrique ou la représentation semi-figurative. Il utilise principalement les techiques mixtes ou l’acrylique sur toile.
J'ai toujours été fascinée par les animaux et c'est sans surprise que je me suis spécialisée dans l'art animalier. Par mes oeuvres, je transmets ma passion pour la vie animale et sa préservation. Mon sujet préféré est l'oie domestique. "Pourqu'oie"? Tout simplement parce qu'elle ressemble à l'humain, étant grégaire et bipède. Ce qui me permets de l'humaniser dans son attitude et sa physionomie sans aller dans l'excès tout en respectant sa morphologie et ses caractéristiques propres à sa nature. Ces petites oies me permettent de passer par l'humour afin de conscientiser les gens au fait que les animaux sont des êtres vivants doués de sentiments tout comme nous, humains. Ce qui me singularise, c'est ma manière de favoriser l'animal au détriment de la précision de son milieu. Je me plais à jouer de couleurs et de textures qui ne font que suggérer ce qui permet à l'observateur d'imaginer le milieu de vie de mon sujet principal. La nature, les parcs animaliers et les éleveurs sont mes lieux d'observations. Le fait d'être peintre animalier ne me restreint nullement dans mon cheminement et la recherche de nouvelles techniques et médiums. J'ai le plaisir d'enseigner ce qui me stimule continuellement à découvrir et explorer. Cette pratique me pousse plus loin et c'est passionnant. Ma production actuelle est dirigée naturellement sur les oies mais aussi les chevaux. J'ai une préoccupation constante de bien rendre la morphologie ce qui demande étude et observation. Connaître le sujet me permet plus de liberté dans le mouvement et le gestuel. Derrière chaque peinture, il y a un moi qui parle et celui qui regarde a ses propres sentiments. Alors, je peins pour moi, pour mon plaisir et cela se ressent dans mes oeuvres.

Après l'obtention de son bac ès arts, une rencontre déterminante la dirige vers
une carrière internationale comme mime qui s'échelonnera sur une dizaine d'année. Elle s’exprime avec des décibels de silence gestuel. En marge de sa carrière d'interprète, elle enseigne au département de théâtre de l’université Concordia où elle s’investit totalement afin d’aider les jeunes étudiants à s’ouvrir aux processus créatifs.
Une maîtrise en mise en scène à l'UQÀM en 1995, lui révèle son sens de l’organisation spatiale et la conduit petit à petit vers les arts visuels.
D’abord la sculpture la séduit, comme un retour au corps dans l’espace, puis suivent les installations qu’elle présente dans divers centres d’exposition et musées.
Finalement entourée de professeurs inspirants elle se tourne vers la peinture à l’acrylique. L’étude de la couleur comme nouveau langage l’interpelle et c’est la découverte des jeux de l’encre sur le papier glacé qui déclenche chez elle un chavirement.

Martine Bertrand mène une carrière internationale. Elle crée des costumes de scène dans les maisons d'opéra les plus prestigieuses telles que : le Teatro alla Scala à Milan, l'Opéra National de Paris, l'Opéra de Munich, l'Opéra de Stuttgart, l'Opéra de Norvège. C'est avec l'Alberta Ballet qu'elle signe les costumes du ballet portant sur la vie de Sir Elton John, Love Lies Bleeding.
Un nouveau vent artistique l'amène à dessiner à Paris sur le plateau du film Café de Flore de Jean-Marc Vallée, ses croquis sont publiés dans le livre portant sur la création du long métrage paru aux Éditions Alto.
Martine se consacre au dessin et affectionne plus particulièrement l'encre de Chine, les aquarelles, et parfois, coud des fils à même ses oeuvres. Ses traits sont vifs et intuitifs. Le genre humain voire la comédie humaine la fascine. Certaines oeuvres se transforment en narrations formées de regroupements de petits personnages anonymes.
Elle organise ses quinze expositions solos à Montréal, Toronto et Paris. Elle remporte plusieurs distinctions lors d'expositions collectives nationales et internationales.
2016 marque une nouvelle exploration dans son oeuvre. Elle conçoit le langage graphique des extra-terrestres du film ARRIVAL de Denis Villeneuve.
L'année 2019 s'annonce prometteuse pour Martine Bertrand. Tout en continuant sa production personnelle, elle dessine pour le département des décors pour DUNE , le prochain film de Denis Villeneuve.
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Martine Bertrand enjoys a well established international career that started in early 1980ies. She is the mastermind behind prestigious opera costume designs mainly for ballet; to name a few: Teatro alla Scala in Milan, L'Opera National de Paris, Bayerische Staatsoper , Stuttgart Opera, Norwegian Opera. It was in collaboration with the Alberta Ballet that Martine designed the dazzling costumes portraying the life of Sir Elton John in Love lies Bleeding.
While her love for costume designs remained ingrained in her, a different yet tantalizing new wind of inspiration hit while she is in Paris on the set of the famous movie Café de Flore de Jean-Marc Vallée. She beautifully captured the poetry of the scenes in her sketches that were included in book that was published in "Edition Alto" about the making of the movie. That was the beginning of a new wave of inspiration and creation.
Martine became fascinated with drawing and painting; she is particularly captivated by creations using India Ink, watercolors, and a mix of stitching within her painting. Her strokes are sharp and intuitive. She is lured by humanity in its multiple dimensions. The whimsicality of her characters is palpable. Her characters are portrayed with a keen eye of a vivid observer who thrives for an unfiltered representation of society. One close look at her miniature characters will instantly tell you a story or transport you into the canvas itself.
Whether it is in Montreal, Toronto and Paris, Martine Bertrand 15 solo exhibitions were a success, winning her multiple distinctions nationally and internationally.
In 2016, Martine applied her art designing the alien language used in the multi-award winning movie Arrival of Denis Villeneuve.
2019 is a promising year for Martine. While continuing her art work for multiple exhibitions and private collectors, she is working in art work for the upcoming Denis Villeneuve movie Dune.

Sarah Bertrand-Hamel vit et travaille à Montréal. Elle a obtenu un Baccalauréat en arts visuels de l’Université Laval en 2006 et une Maîtrise en beaux-arts de l’Université Concordia en 2014.
Que ce soit avec ses crayons ou avec sa machine à coudre, essentiellement, Sarah Bertrand-Hamel dessine. Curieuse et attentive aux matériaux qu’elle utilise, ses recherches l’ont amenée à fabriquer son propre papier. Depuis, chaque feuille est différente, chaque lot a sa spécificité et ces particularités inspirent le travail subséquent.
Fascinée par l’impermanence et la singularité, l’artiste crée des images qu’elle répète et réinterprète, fragmente et recompose. Elle s’intéresse à la transition, au passage, au glissement entre ces images. Elle trace le changement, veut rendre visible le temps.
Sarah Bertrand-Hamel a exposé au Québec, en France, au Mexique, à Cuba et au Japon. Ses œuvres font partie de collections publiques et privées dont celles du Musée national des beaux-arts du Québec, de Loto-Québec, du Cirque du Soleil et du Musée national de la céramique de Guadalajara. Elle est représentée à Montréal par la Galerie Joyce Yahouda.

Photographe, enseignant et directeur de programmation
Jean-François Bérubé mène une carrière fructueuse depuis plus de trente ans, entremêlant son métier de photographe avec un travail de recherche purement artistique et l'enseignement. Ses productions personnelles ou de commandes sont présentées au Québec, au Canada, en Europe et aux États-Unis.
Il est cofondateur des Rencontres internationales de la photographie en Gaspésie, et a codirigé cet événement en tant que commissaire aux expositions jusqu'en 2014.

Depuis plusieurs années, Besner se consacre exclusivement à la peinture dans sa recherche d’une esthétique pour représenter sa vision du monde. Ses tableaux, colorés et émouvants, s’inspirent de ses études en architecture, de ses maîtres à penser en peinture et de ses rencontres au fil des ruelles de Montréal. Ses tableaux témoignent d’un regard insistant et ludique sur le monde qui nous entoure.

Né à Val-Morin (Québec) 1947, Jean Bisson Biscornet, d’origine métis, est un sculpteur et plasticien québécois qui, de façon autodidacte, apprend la céramique. C’est à partir de 1989, lors d’un séjour prolongé en France, qu’il découvre le granit. En Bretagne, Bisson Biscornet assiste l' architecte sculpteur hongrois Pierre Székely (1923-2001) qui va lui enseigner l'Art monumental et le travail sculptural du granit. De retour au Québec, dans les Laurentides, il se tourne de plus en plus vers la réalisation de sculptures de moyennes et grandes dimensions. Il travaille la pierre native du canton de Morin, " Anorthosite". Les matériaux qu'il utilise dans son travail sont très variés, allant de la pierre à l'argile, l'acier ou du bronze. Il tire ses sujets de la vie qui l'entoure, qu’il met en scène dans sa vision magique et symbolique du monde. À partir des années 90, il participe à plusieurs symposiums de sculpture sur pierre au Canada et à l’international, dont celui de Perros- Guirec, Bretagne(1998) , Iqaluit , Nunavut (1999), Saint-Faustin , Québec (2007et 2008) , Matran, Suisse (2009) , Louvigné du Désert , Bretagne( 2007), et celui de Boisbriand, Québec en(2012). Il collabore depuis 1989 à l'événement 1001 Pots , événement céramique National et il exécute plusieurs sculptures de métal intégrées au site du "Jardin de Silice " de M. Kinya Ishikawa à Val-David . En 2017 il reçoit le prix Kathleen M. Laing remis pour sa contribution à la céramique au Québec. En 2015, une de ses œuvres de pierre est acquise pour la nouvelle Maison du Canada à Londres. Ses sculptures font partie de plusieurs collections privées et publiques, dont La bibliothèque de Westmount, le Musé amérindien, Mont Saint Hilaire, Trois sculptures de granit (Musé du granit La Clarté, Perros-Guirec,) Bretagne, France, la tour AIMIA Montréal. Le couloir aérobique Municipalité Montcalm. Parc des Créateurs , Parc linéaire des Laurentides et Parc des amoureux , tous pour la municipalité deVal-David.

Notice biographique
Gilles Bissonnet
Titulaire d'une maitrise en histoire de l'art et d'un baccalauréat en arts plastiques de l'Université de Montréal, Gilles Bissonnet œuvre dans des champs d'intervention multiples. Professeur, artiste interdisciplinaire et sculpteur de formation, il compose des ensembles sculpturaux éphémères ou permanents, qui prennent forme dans l'espace public en s'appuyant sur l'architecture et le mobilier urbain standard. Son travail s'articule autour des rapports sociaux, de l'échange et de la communication : Le Parc Éphémère (1995) révèle le politique et le culturel du Plateau Mont-Royal, L'Espace revisité (1997) expose la problématique des jeunes de la rue, tandis que L'Urbaine Urbanité (2002, 2003 et 2005) explore les questions liées à la «gentrification» de certains quartiers de la ville, tout en démontrant que l'intérêt général peut mener à la création d'une dynamique en art public. Plusieurs collaborations avec des revues spécialisées en art actuel témoignent, par des textes critiques et divers dossiers, de l'engagement professionnel de l'artiste. Gilles Bissonnet est boursier du Conseil des arts et des lettres du Québec et du Conseil des Arts du Canada.
Depuis plusieurs années, son champ d’intervention est multiple, composant avec des sculptures/architectures et du mobilier urbain standard, dans l’espace public; les installations interpellent le spectateur et l’invitent à participer. L’interaction entre le public, le lieu et la sculpture demeure le pôle important de son travail. Dans ce contexte, le public par sa présence et sa participation produit une part de l’œuvre d’art. De plus, ses interventions dans l’espace public modifient le rôle traditionnel de l’artiste et de l’objet dans l’espace. Par des projets éphémères, le refus des valeurs traditionnelles du monumental et l’implication sociale de l’artiste dans le développement de l’œuvre d’art, sa problématique va dans le même sens que la proposition amenée par François Barré, Directeur du patrimoine (Ministère de la culture, France) «Le monument succède aux monuments. L’important dans la ville, ce ne sont pas les objets, c’est ce qui existe entre les objets. C’est la relation. C’est l’appropriation, le trajet qui devient projet ; quelque chose qui ne s’inscrit pas dans un empire du regard fasciné par l’unicum. Relation, transformation, médiation... cela, les arts plastiques l’ont complètement annoncé et réalisé[1].».
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[1]. François Barré, «L’art face à l’administration», Hors lieux, Strasbourg, éditorial no 2, septembre 2000, p.1.

Je suis une artiste professionnelle multidisciplinaire originaire de Québec. Je demeure à Danville, en Estrie, où j’ai mon atelier de création.
Depuis la fin de mon bac en 1989, l’identité féminine est le moteur de mon travail. Au fil des ans, j’en ai fait des autoportraits photographiques et j’ai offert des performances artistiques pour dénoncer les stéréotypes féminins dans notre société. À travers mes corpus, j’ai exploré les rapports mère/fille ainsi que homme-femme. J’ai peint des tableaux témoignant de la force et de la vulnérabilité du féminin. J’en ai réalisé un mémoire de maîtrise (1995) ainsi qu’un recueil de poésie (Briser les murs du silence, 2017). J’offre des ateliers de connaissance de soi par les arts que j’ai créés de toute pièce.
Mon travail est axé sur la mise en évidence des différents enjeux typiquement féminins comme par exemple le rapport au corps, de la femme et de la planète, et la sexualité.
J’aime travailler en série afin de créer une communauté d’oeuvres qui se font écho entre elles. En 2017, à travers la série À fleur de peau, j’ai pu mettre en évidence 62 états différents du sexe féminin mettant en lumière la diversité sexuelle de la vulve.
Dans l’ensemble de ma pratique, je tente de créer des images à caractères poétiques et esthétiques qui, par leur propos, peuvent s’avérer particulièrement questionnantes. Je souhaite que ces images créent une brèche au coeur des valeurs de notre société afin de semer en chacun.e de nous une image des femmes plus globalisante, respectueuse et plus intégrative. Une ouverture sur notre monde intérieur et sur le monde en général.
Mes images parlent de la terre, des femmes, de la puissance régénératrice de la matrice (des humains et de la terre), du regard qu’on porte sur le féminin.

Diplômé de l'Ecole d'art d'Angers (1983), de La Sorbonne (1988) et de l'UQAM (Phd, 2013), Philippe Boissonnet est installé au Québec depuis 1985. Il est professeur régulier en arts visuels et médiatiques à l'UQTR depuis 1993 où il dirige le groupe de recherche URAV. Il développe depuis 1983 une pratique multidisciplinaire impliquant la lumière, l'holographie et l'image photo-vidéo dans des installations. Récipendaire de la Hologram Foundation International Award (2018), du Prix d'excellence de Shearwater for Holographic Arts (1998) et du Prix de la Fondation Elizabeth Greenshields (1983), il a exposé en Amérique du nord et du sud, en Europe, au Mexique, au Japon et en Australie.

Artiste multidisciplinaire, ses oeuvres ont fait l'objet de plus d'une centaine d'expositions solo et collectives au Canada, aux États-Unis, en Suisse et en France, notamment, au Musée d'art contemporain de Montréal, au Musée du Québec, à la Biennale Internationale de Bâle, à la Foire Internationale de Paris, au Tokyo International Art Show et dans de nombreuses galeries privées. Il a aussi réalisé une vingtaine d'oeuvres monumentales d'intégration à l'architecture au Québec et aux USA. Ses oeuvres figurent dans de nombreuses collections publiques et privées ici et à l'étranger.

Création de mobilier d'art
Enseignement de la peinture et des différents processus liés à la créativité

Détentrice d’un diplôme d’études collégiales en photographie au Cégep du Vieux-Montréal, Chantal Bonneville est une artiste pluridisciplinaire qui utilise la peinture et la photographie comme moyens d’expression. Depuis 2013, elle a présenté cinq expositions solo et elle a participé à plus d’une vingtaine d’expositions collectives dont SPACE 8 au Musée des Beaux-Arts de Sherbrooke.
Pour Chantal Bonneville, l’équilibre se fait dans le chaos. La vacuité, le désir et le silence sont autant de sujets chers à l’artiste qui, par ses lectures sur le rêve et la poésie ainsi que par ses recherches et ses expérimentations sur le noir, la texture et l’abstraction, cherche à donner un espace à la puissance évocatrice de l’objet. Ses expérimentations sur transfert d’émulsion Polaroid, sa peinture, ses collages ainsi que ses travaux effectués à l’aide procédés photographiques non argentiques lui ont permis de se forger une identité visuelle qui évoque un univers poétique personnel et cohérent. En osant la profondeur, l’artiste permet à la ligne, à la lumière et à la tache d’apparaître, presque libérées de l’intention, chargées d’un sens qui leur est propre.Si c’est à travers des sujets empreints de poésie et d’érotisme que l’œuvre photographique de Chantal Bonneville se révèle, ses tableaux offrent à voir des détails qu’on peut attribuer à une part de l’être qu’on ne contrôle pas. C’est en laissant l’intime, le tremblement et l’inconscient émerger à travers une exploration constante du médium que l’œuvre se manifeste et qu’elle prend corps.

Avec un bagage artistique non seulement héréditaire, mais de formation, j’ai touché à différentes formes d’arts visuels, pour finalement me consacrer à la photographie.
2001 Je joins un club photo et je redeviens active en photographie,
j’améliore constamment ma technique et ma vision des choses à travers ma lentille.
2005 Le virage au numérique m’a permis d’assouvir mes besoins photographiques, tant en qualité qu’en quantité.
2010 Je deviens artiste photographe à plein temps.
2012 Je commence à marier ma passion pour la photo à celle pour le recyclage et la récupération, mes premières œuvres en 3 dimensions voient le jour. Faire revivre le Québec d’hier, dans un œuvre contemporaine en trois dimensions, une image et un objet à la fois.

Détenteur d’un baccalauréat en arts visuels de l’Université Laval, je vis et travaille à Québec. Cumulant plusieurs années de pratique artistique, j’ai présenté mon travail à plusieurs endroits au Québec, dont le centre d’artiste Vaste et Vague, le Centre Léo Ayotte, le Centre d’art de Kamouraska, ainsi que quelques Galeries d’art contemporain. J’ai également participé à quelques expositions collectives.
Certaines de mes œuvres font partie de collections publiques et privées. Mentionnons les villes de Boucherville et St-Jean-Sur-Richelieu, l’Artothèque de la bibliothèque Gabrielle-Roy et l’Imageothèque de l’Université Laval.
La sculpture sur bois et moi ...
Une époustouflante histoire d'amour!
L'enfant n'avait qu'un rêve ... danser avec les arbres sous un ciel parsemé d'étoiles.
Je m'appelle Marika et je suis née dans une île de la Caraïbe, entre les fleurs exotiques d'un coté et la montagne de l'autre. J'ai grandi au Pensionnat du Sacré-Coeur à Saint-Hubert au Québec, pendant une période ou mon éducation académique le commandait. Au milieu de ma vie, la chance m'a souri lorsque j'ai rencontré un excellent maître sculpteur qui a offert de m'initier à son metier. Quelques mots ont suffi pour me ravir: "Madame vous pouvez sculpter". Ainsi commenca mon aventure. A partir de ce moment, mon âme d'enfant a su qu'il fallait transcender le présent pour capter l'essence du meilleur de ces deux mondes. Depuis, plus de vingt ans ont passé
De Port-au-Prince à New York, à Seguin, Texas, et maintenant à Mont-Saint-Hilaire, Québec, l'enfant ne rêve plus de danser avec les arbres; elle les fait danser au rythme de son maillet et de sa gouge. Mes sculptures, témoignent autant de mon évolution artistique, que de mon empathie avec les sujets traités. J'évolue avec elles.
Bras-dessus et bras-dessous, j'ai accompagné "La Mère et L'Enfant", "Le Mendiant et L'Ascète" dans leur quête de justice et de paix pour l'humanité. Mes sculptures se sont taillées une place de choix à titre d'ambasssadeurs dans des endroits publics et privés. Elles se distinguent lors d'expositions en rapportant des prix honorifiques. Elles honorent le passé en rendant hommage au présent dans une joyeuse danse.
J'ai eu la chance, au cours de ma carrière artistique, de travailler avec les institutions suivantes sur des thèmes spécifiques pour accroître leurs collections privées et j'en ai été honorée.
- Guadalupe Regional Medical Center, Seguin, Texas
- Texas Lutheran University, Seguin, Texas
- Emanuel's Lutheran Church, Seguin, Texas
- City of Seguin:
- Seguin Public Library, Seguin, Texas.
J'ai aussi été particulierement touchée de travailler sur des commandes privées pour des particuliers qui ont fait confiance à mon flair artistique. Au commencement de chaque oeuvre, qu'elle soit grande ou petite, c'est toujours avec une part d'émotion, un mélange d'anxiété et une dose de respect que j'aborde cette nouvelle pièce.
La vie n'est que service et tous les artistes honorent cette planète avec leur unique vision d'ailleurs. Mon implication au sein de la communauté, m'a valu les distinctions suivantes:
- 2019: Vision Award, The Seguin Gazette's Mary Lee Roberts Citizen of the Year and Vision Awards, Seguin, TX
- 2014: The 2014 Arts Enrichment Award for unwavering support and promotion of the arts, Seguin Commission on the Arts, Seguin, TX
Dans le même esprit de service, mes sculptures se sont rangées, têtes hautes, auprès d'autres, pour sonner la clochette d'alarme sur la situation globale actuelle, ou tout simplement pour rendre hommage au côté sacré de la vision des artistes.
- 2014: The Claude Parsons Memorial Award, Jury of Awards: Claudia Seymour President Emeritus of the Salmagundi Club and Elizabeth Spencer Life Member of the Art Students League, The American Artists Professional League Inc., 86th Grand National Exhibit, Salmagundi Club, New York, NY
- 2012:Honorable Mention, Juror: Professor Mary Visser, Southwestern University, Texas Society of Sculptors, 5th Georgetown Public Library Sculpture Show, Georgetown, TX
Ann Griffith Ash Donor Award, Juror: Peter Trippi editor of "Fine Art Connoisseur", The San Antonio Art League and Museum, 82nd Annual Artists Exhibition, San Antonio, TX
- 2015: Grounds for Sculpture and The International Sculpture Center, Disruption, curated by Tom Moran, GFS Chief Curator and Artistic Director, Hamilton, NY, October 2015-March 2016
C'est avec plaisir que je me joins au Regroupement des Artistes en Arts Visuels du Québec en espérant que cette commune union sera bénéfique de part et d'autre.
BIOGRAPHIE.pdf

www.evelynebouchard.com Evelyne Bouchard est originaire des Cantons de l’est et vit en Montérégie. Elle est titulaire d'une Maîtrise interdisciplinaire en art de l’Université Laval, de Québec. Ses recherches infiltrent la communauté par une pratique en art interdisciplinaire. Son travail oscille entre des explorations dessinées, performées, photographiques, sonores ou d’installations, et il sollicite la trace sensible des rencontres afin d’examiner la malléabilité interhumaine. Elle collabore à différents groupes de recherches, dont U-Lab, au Département de communication sociale et publique de l’UQAM, Hemispheric institute of performance and politics, à Université Concordia à Montréal et Trans-Montréal, dans le cadre du l’événement Performance Studies international de 2015. Elle présente ses recherches en centres d’artistes au Canada et à en Équateur.
- Prestations performatives personnalisées pour soirées de lancement, cabarets ou évènements privés.
- Activitées de médiation.
- Créations d'oeuvres (portraits).

La Famille Plouffe œuvre ensemble depuis l’arrivée de chacun dans la vie de l’autre. C’est par souci d’intégrité envers elle-même, qu’elle a décidé de mettre de l’avant cette signature commune après un séjour familial en 2016 aux Maisons Daura, résidences internationales d’artistes, à Saint-Cirq-Lapopie en France. Depuis, elle a entre autres participé au 35e Symposium international d’art contemporain de Baie-Saint-Paul, à la Triennale Banlieue ! à la Maison des Arts de Laval et au Musée à ciel ouvert de Saint-Lambert. Elle a aussi présenté des expositions solos avec Action Art Actuel à Saint-Jean-sur-Richelieu, Vaste et Vague à Carleton-sur-Mer et Langage Plus à Alma. L'été dernier, son travail à pu se découvrir à la Biennale nationale de sculpture contemporaine (BNSC) au Musée POP à Trois-Rivières en collaboration étroite avec l'Atelier le Fil d'Ariane. Elle se prépare aussi pour l'événement-résidence SEULS et ENSEMBLE qui se tiendra l’été prochain aux Îles-de-la-Madeleine avec Ad Mare. En peu de temps, elle a eu le grand privilège d’être invitée à plusieurs concours d’art public dans le cadre de politiques municipales ou de la politique d’intégration des arts à l’architecture et à l’environnement du Québec. Elle poursuit cette lancée en créant des œuvres d’art public suivant des invitations, des appels à candidatures ou des initiatives personnelles (œuvres permanentes ou temporaires).
La prise de position philosophique de La Famille Plouffe propose que tout ce qui a été auparavant réalisé au nom de Guillaume Boudrias-Plouffe, était fondamentalement réalisé en réalité par La Famille Plouffe. De cette même façon, Guillaume a par le passé représenté la famille lors de projets au Québec, au Canada, en France, en Côte d’Ivoire et en Italie. Il en vaut de même pour tous les prix, bourses et subventions reçus à l’époque en son propre nom, par exemple : le prix relève de Culture Montérégie, le prix Joseph-S.-Stauffer du Conseil des arts du Canada, de même que des bourses du Conseil des arts de Longueuil, du Conseil des arts et des lettres du Québec et du Conseil des arts du Canada. C’est également Guillaume de La Famille Plouffe qui est membre du conseil d'administration du 3e impérial, centre d'essai en art actuel et du Regroupement des centres d'artistes autogérés du Québec (RCAAQ).

www.giseleboulianne.com
giseleboulianne@gmail.com
Galerie - Loft de création
55 rue du Sault-au-Matelot
Québec, Qc 418 802-2505

S'inspirant de l'esthétique de la statuaire antique et passionnée par les arts premiers et l'univers des contes, Marie-France Bourbeau travaille la représentation du corps en jouant avec la charge expressive brute des matériaux naturels qu'elle incorpore à ses sculptures. Elle explore ainsi la nature double des êtres : la matérialité organique en relation avec la source insconsciente et insondable qui les habitent. Son travail parle de correspondance formelle et symbolique entre les éléments, et évoque la transcendance à travers les transformations qu'elle fait subir aux matériaux récupérés. Elle détient un baccalauréat en arts visuels de l’UQÀM et une licence en arts plastiques de l’Université d’Aix-Marseille. Elle a également suivi une formation en céramique au Centre Bonsecours de Montréal.

Atelier de sculpture: service d'usinage, de soudage, assemblage et aide technique à la conception et réalisation tout équipé par artiste ayant 45 ans de formation et d'expérience industrielle. 65$ l'heure.

Native du Témiscamingue, Marie-Ange Brassard vit à St-Isidore en Montérégie et travaille à l’atelier Glypto à LaSalle.
Expositions individuelles et collectives locales, provinciales et internationales, jalonnent son parcours artistique. On retrouve ses œuvres dans plusieurs collections permanentes : Ville de Pointe-Claire, de la CRÉ de la Vallée du Haut-Saint-Laurent, de la MRC de Roussillon, de la Ville de Châteauguay, d’Exporail Musée ferroviaire canadien de St-Constant, de la Municipalité de Saint-Cyprien de Napierville et des collections privées au Canada et États-Unis. Plusieurs prix et mention lui furent décernés au Québec et à l’International.
Elle expose principalement au Québec. Membre professionnel du RAAV (Regroupement des artistes en arts visuels) du CMCC (Conseil Montérégien Culture et Communication) Centre d’artiste Zocalo, Zone d'Affluence, Association des Artistes de La Salle, Bistro Culturel Cœur de Village.